Je ne joue pas, j’expérimente

Godlike Burger (Epic Games)

Vous connaissez ces jeux où il faut répondre aux commandes de clients dans un restaurant ? Ben là c’est un peu la même chose sauf que votre restau c’est une gargote où tout tombe en panne et où vous pouvez cuisiner vos clients (bon, je n’en suis pas encore là, mais c’est la promesse du jeu).

Dès les premiers niveaux, il faut enchaîner les commandes, sans se tromper, qui n’en veut du fromage, de la tomate, des oignons, etc.

Peaky Blinders – Mastermind (Amazon Games)

Inspiré de la série à succès (à raison), ce jeu, la conception fait penser à l’excellent Commandos avec une vue en 3D iso et le principe d’éviter de se faire repérer. Bon, vite fait ça m’a saoulé le timing imposé pour finir les missions 🙂

Le Donjon de Naheulbeuk – L’amulette du désordre (Epic Games)

Quand on pense que tout est parti d’une série de trois francs six sous en web radio et qu’après la bédé, les concerts du groupe Naheulband, les goodies, etc., il y a désormais le jeu vidéo, à quand la série Netflix ?!

On retrouve dans le jeu l’humour de la web série avec les ingrédients typiques d’un RPG : Couloir / Piège / Monstres / Trésor, amélioration des compétences, etc. Et puis c’est joli, même si le système de combat est assez complexe, je trouve.

Baldur’s Gate Enhanced Edition (Amazon Games)

Oui, je sais, mais c’est dans les vieux pots, etc. Et Baldur’s Gate reste une référence des RPG.

Foretales (Amazon Games)

Un jeu d’aventures en mode carte à jouer, plutôt joli, et du coup assez reposant, et pas si simple, mêlant stratégie (gérer au mieux le nombre limité de cartes) et réflexion (quelle carte attaquer / visiter).

Wildcat Gun Machine (Epic Games)

Un shoot’em up en 3D Isométrique, mais bien moins maniable que Viral par exemple. Bah oui, quand tu fais de la 3D Iso, tu t’arranges pour que le perso se déplace en diagonale, non ? ça évite de devoir appuyer sur 2 touches directionnelles en même temps…

Un dernier pour la route

Quelques jeux testés ce mois :

Darkwood (Epic Game Store)

Un survival horror en vue du dessus (cela rappelle GTA premier du nom). Sombre, surprenant, assez vague dans la direction, mort au bout d’1/2 heure du coup je ne suis pas allé plus loin.

Perte de temps

Une sélection pas piquée des… des bestioles là… Profitons du calendrier de l’après Epic Games et des jeux Amazon Prime Gaming !

Hey, tu joues ?

Et voici la petite sélection testée cet automne concernant les jeux des plateformes Amazon Games, Steam & Epic Games pour lesquels je n’ai pas déboursé un centime (même l’abonnement Prime était offert !)

Vidyeo Togloom

Horace, un jeu offert sur Amazon Prime, qui repompe allègrement Jet Set Willy, un classique sur Amstrad à l’époque (je n’ai jamais fini Jet Set Willy II, comme aucun autre jeu sur Amstrad de mémoire), jusqu’à la bande-son (la « Sonate au Clair de Lune » de Mc Beethoven).

Encore, jouer

Florilège des derniers jeux Epic Game Store / Steam / Amazon Games testés ces derniers temps !

First Person Shooter

Les derniers FPS testés via l’Epic Game Store, l’Amazon Prime Game, GOG ou la plateforme Steam, quand la gâchette vous démange après une journée stressante…

Remnant: From the Ashes que l’on sent résolument tourné vers le multijoueur tant certaines missions sont quasi irréalisables en solo. L’ambiance apocalyptique et les créatures à la puissance graduelle, le farming et l’upgrade de l’équipement, le respawn des créatures entre deux passages des points de téléportation ou de récupération de la santé…

Plutôt pénible en solo, mais je pense sympa à deux ou plus ! Surtout que le scénario quelque peu tiré par les cheveux – Ah bon, vous ne faites confiance à personne, retranché dans votre base à l’abri mais le premier quidam venu vous lui demandez d’aller sauver le monde ? – laisse perplexe 🙂

Wolfenstein: The New Order

Faire revivre un classique devenu culte à la sauce moderne : avec un départ du jeu en trombe un peu comme l’a initié Half-Life (d’ailleurs je vous invite à regarder la vidéo du Joueur du Grenier au sujet de tout ce qu’Half-Life a apporté aux FPS) à bord d’un avion qui s’écrase – je résume, hein.

Avec un héros façon Schwarzy torturé, des effets assez gore côté explosions de nazis et une ambiance graphique riche et assumée façon cliché, la possibilité de tuer un ennemi en lui lançant un couteau dans la cheville (?!), des chiens mécaniques et des bases lunaires, on est clairement dans un FPS décomplexé.

Doom 64 !

On revient presque 30 ans en arrière… Il y a deux écoles, ceux qui ont commencé les FPS par Wolfenstein et ceux qui ont commencé par Doom. Je suis de ces derniers… Aaah les heures passées à claquer du démon ! Toujours aussi prenant tiens.

Quake (Haute Définition ?), sorti en 1996 et graphiquement « amélioré » pour cette version de 2021. Bon, sincèrement, la 3D de l’époque ça vieillit encore moins bien que la fausse 3D à la Doom… Mais moi ça me rappelle mon premier stage avec des nocturnes assez mouvementées 🙂

On reste dans les oldies avec Shadow Warrior, la version de 1997, avec le moteur de Duke Nukem de l’époque, et plus ou moins le même humour… Mais pour le coup ça a encore plus mal vieilli côté graphismes, et c’est voir difficilement jouable tellement c’est rapide… En outre, acquis sur GOG.com, il est pas mal buggy (impossible de configurer le clavier, plantages intempestifs… C’était mieux sous Windows XP !)

Ludoque, mi fili

Slain, back from Hell, un slasher qui détend après une longue journée…, sur un air heavy metal, c’est très fin ça se mange sans fin.

Quelques problèmes de jouabilité cependant, même si l’on compose avec, comme les mouvements assez lents du héros pour asséner un coup, les différences peu flagrantes entre les armes et la frustration à recommencer vingt-trois fois une partie de niveau entre deux points de sauvegarde.

Dans un tout autre registre… Alba, a wildlife adventure suit les aventures d’une jeune fille dont le prénom est (Oh, surprise), en vacances chez ses grands-parents dans le sud (Espagne ? En tous cas les grands-parents parlent espagnol), et qui se retrouve à devoir/vouloir sauver la faune en danger face à la construction d’un complexe hôtelier. Sur la forme, c’est tout mignon, avec un côté « Pokémon, attrapez les tous » où l’on photographie les animaux au lieu de les faire se combattre, c’est poétique, ludique et culturel, et en plus cela a un petit côté politique plutôt posé – notamment le dialogue entre le papi et la mamie, qui pèsent le pour et le contre du complexe hôtelier, bon pour le tourisme et l’économie, mais mauvais pour la biodiversité. Un jeu pour enfants, mais pas que…

Filament, un puzzle game simple en apparence où l’on guide un petit robot à l’intérieur d’interrupteurs pour allumer différentes leds… Autant dire qu’au troisième puzzle j’étais déjà bloqué 🙂

Des heures d’amusement de prise de tête en perspective !

Bloons Tower Defense 6 ! Me rappelle des souvenirs de la plateforme Kongregate qui a beaucoup perdu avec la fin du support Flash des navigateurs, mais qui reste un vrai coffre aux trésors ludiques !

Le principe est simple, empêcher des ballons de rejoindre votre base en disposant des singes aux spécificités propres (archer, magicien, ninja…) qui gagnent en expérience et développent de nouvelles compétences. Outre qu’il soit joli, il est, comme souvent les Tower Defense (et les Idle Games), addictif !

Aaaahh… Worms, c’est toute une histoire (Dommage que l’on ne trouve pas le premier Worms en abandonware !). Si la version full 3D (Worms 4: Mayhem) ne m’a pas convaincu, il faut avouer que ce Worms Revolution en plus d’être tout mignon, renvoie à des heures heureuses !

Alors on dégomme du ver en veux-tu en voilà avec des bazookas, des mines, des poings enflammés ou d’une simple pichenette en interagissant avec le décor. ET BAM !

Friday the 13th: Killer Puzzle (free-to-play sur Steam, interdit depuis fin janvier suite à un problème de licence) est un puzzle game gentiment gore avec des graphismes à la South Park où l’on dirige Jason Voorhees pour décimer les joyeux campeurs sur chaque tableau. Jason « glisse » de haut en bas et de droite à gauche. Un puzzle game classique dans le genre pousser des caisses, etc., mais avec ce petit « plus » sanglant et des bonus à débloquer (nouvelles armes avec nouvelles fatalités, etc.)

Broforce, un jeu d’action bête et méchant, nerveux en diable avec des micro parties de 2-3 minutes et pléthores de personnages à débloquer issus des licences d’action (de Walker, Texas Ranger à RoboCop en passant par MacGyver, Rose McGowan dans « Planet Terror » ou, bien sûr, « Rambro ») ayant chacun leur spécificité plus ou moins intéressante.

ça se mange sans fin.

Game Addict

Quelques joyeusetés récoltées sur Amazon Prime Game et Epic Games. Encore du temps perdu !

Jotun est inspiré de la mythologie nordique et offre une expérience visuelle proche du dessin animé. Un slasher héroïque où l’on affronte les Jötunn, ces créatures humanoïdes personnifiant les forces de la nature. Naviguez dans des cartes gigantesques et combattez des créatures dix fois plus grandes que vous 🙂

Lâche la manette

Maneater vous met dans la peau d’un requin. Le concept n’est pas nouveau (cf Hungry Shark notamment). La nouveau est que l’on est ici dans un FPB (First Person Biter) en monde ouvert. Mangez (priez, aimez) tout ce qui se présente, évoluez, chassez les chasseurs, découvrez tous les secrets. Frustrant aux premiers abords quand on voit le truc à récupérer mais que l’on n’a pas la compétence utile pour y accéder…

Les reproches qui lui ont été fait est une certaine répétitivité, mais c’est le cas de nombre de FPS non ?

Très beau, avec un cycle jour / nuit qui modifie l’ambiance, une voix off (on est dans une sorte de documentaire vivant), des fun facts, un jeu à jouer par à-coup.

Two Point Hospital repompe allègrement Theme Hospital, donc rien de nouveau sous le soleil si ce n’est qu’il est beaucoup plus long à charger. Mais on retrouve le fun du génial jeu de gestion hospitalière, sans le côté innovant.

Possibilité de personnaliser le personnel hospitalier, de faire évoluer les machines, malades décédés qui hantent l’hôpital, etc. Quelques trucs en plus donc.

Gone Viral est un jeu bête et méchant où l’on doit sharkler de salle en salle pour obtenir le plus de fans et donc des bonuses qui nous rendent encore plus déments.

Un bon défouloir, vite énervant quand on reste bloqué car, parfois, il faut savoir être « subtil » 🙂

Ring of Pain est un dungeon crawler assez original par sa présentation sous forme de cartes défilant à droite ou à gauche (comme sur Tinder) où vos choix influeront sur votre avancement dans l’exploration des donjons.