Archives de la catégorie ‘Cuisine & Gastronomie’

T’es pas gnocchi

Publié: 30 septembre 2010 dans Cuisine & Gastronomie

Pour ceux qui aiment le jappe au nez et qui veulent oublier leur sushis, le Wasabi est un petit resto tout beau, tout bon avec des sushis, sashimis et autres california rolls à tomber par terre. On vous y apprend comment manger le poisson cru, mélanger le wasabi à la sauce, et on goûte à un sushi de turbot ! On frôle le haut de gamme, service chouette et discret, note un rien salée, seul hic, la musique qui ne fait pas très « ambiance »…

Hier, j’avais envie de canard laqué. Oui, ça me prend des fois. Du coup je suis allé chez PariStore, une chaîne de magasin d’alimentation exotique que je suspecte être de connivence avec Casino. Bref, on y trouve des trucs sympa et pas trop cher ; le canard laqué entier est à 17.00 € à l’heure où je vous parle, et ça nous fait bien 3 / 4 repas.
 
Je découpe des lamelles avec la peau, que je fais revenir à la poële. Je découpe aussi de petits bouts de peau qui frémissent dans la graisse et deviennent croustillant, miam !
 
Sinon, on a déjà 178 bières enregistrées dans le Musée de la Bière !

Cassé makroud

Publié: 21 novembre 2009 dans Cuisine & Gastronomie
J’ai tenté de faire des makroud, cela a été une véritable hécatombe : les boudins de semoule se sont délités dans l’huile au moment de la friture, ne restait que le fourrage de dattes à frire d’une façon désolée. J’ai du oublier un ingrédient, une étape, que sais-je, pourtant j’ai respecté la recette que l’on m’a donnée (et que vous pouvez donc éviter) :
100 g de semoule fine
200 g de semoule moyenne
100 mL d’eau
100 g de beurre fondu
1 càs de sel
75 g de sucre (peut-être n’en ai-je pas mis assez, j’ai peut-être mis 3/4 de càs de sucre en fait…)
 
Avec tout ça faire une pâte à laisser reposer 24 h (du coup moi j’avais un monticule de semoule, c’est vrai quoi, le liant, c’était quoi dans l’histoire ? Parce que le beurre fondu refroidi, une fois dans l’huile, il refont…)
 
Le lendemain, faire un long boudin avec la pâte, la farcir avec une pâte de datte travaillée avec de la fleur d’oranger (à doser à convenance, attention c’est fort en goût quand même), découper et faire frire dans l’huile ; une fois bruns, les tremper dans du miel tiédi avec de la fleur d’oranger (encore).
 
Bon, j’ai goûté du coup mon gâteau de semoule pas cuit aromatisé à la datte frite, le tout trempé dans du miel : gras et sucré (donc, le résultat escompté), mais indigeste que j’en ai eu la migraine…

Nems, le retour

Publié: 16 novembre 2009 dans Cuisine & Gastronomie
Samedi j’ai eu le temps de faire une vingtaine de nems au poulet (tlès tlès bon) :
– 2 filets de poulet
– Un sachet de champignons noirs déshydratés
– Deux boîtes de soja
– Une carotte
– Du vermicelle de riz
– Des feuilles de riz
 
Faire revenir les filets de poulets préalablement débités en petits morceaux avec le soja, la carotte râpée, les champignons réhydratés et le vermicelle auparavant ramolli dans de l’eau chaude ; dans une grande poële mettre de l’huile, les ingrédients, 2 cuillers de sauce soja et 2 cuillers de nuoc mam ; saler et poivrer.
 
Quand tout est cuit, laisser refroidir quelques minutes et rouler les nems. Les faire frire. Chez moi ça n’a pas doré, mais c’est pas grave !
Attention cependant avec les doses prescrites, on peut faire facile une quarantaine de nems !

Bonnes adresses

Publié: 3 juillet 2009 dans Cuisine & Gastronomie
Pas mal de gueuletons ces derniers mois avec de plus ou moins bonnes surprises :
La Cantine des Sales Gosses : cuisine originale (la glace au foie gras ! La glace au sésame !) et copieuse, mais le service ! Plus long on y serait encore ! Du coup plaisir terriblement gâché…
Le Teppan Yaki : pour moi un incontournable (et non une personne de petite taille stupide et derviche) du barbecue japonais où tout danse et saute et virevolte, ponctué des blagues et jeux de mots parfois douteux du cuisinier (et surtout pas forcément bien compréhensibles avec son _très_ fort accent), mais à coups sûrs une soirée agradable !
Le Petit Frère : la vraie surprise : bon, copieux (très !), beau, accueil chaleureux, prix plus qu’abordables, bruyant à coups sûrs, mais c’est le charme des petits restaurants…
Le Flam’s : Nostalgie : on y allait il y a plus de 10 ans déjà, et rien n’a changé : la pisse d’âne coule à flots, pour éponger (ou faire gonfler ?) les flamkueches pas cuites, on s’empiffre, on gloutonne, on crie, on chante, on rajeunit quoi !
Le Tire-Bouchon : ce n’est pas parce que mon frère y travaille que je ne vais pas critiquer ! Et la critique est la suivante : les portions sont trop, mais trop ENORMES !!!!! Et à ce prix, c’est presque honteux ! De la confiture aux cochons ! Et avec la TVA qui baisse…
Vent d’Ouessant : une petite créperie qui ne paie pas de mine, mais les crèpes y sont bonnes et on n’est pas assourdi par une musique tonitruante… Ah ça non…

Je Nem que toi

Publié: 10 juin 2009 dans Cuisine & Gastronomie
A y est je sais faire les nems ! Avec les champi noirs tout bizarre, les crevettes riquiqui et le pliage de la feuille de riz de @$*!#"! ! 
 
Du coup commandes au boulot et de ma bien-aimée Tire la langue

Brise de la pastilla

Publié: 15 Mai 2009 dans Cuisine & Gastronomie
La pastilla ou bastilla est une spécialité d’origine marocaine. Super simple à préparer de la façon dont on l’a fait : on fait une sorte de mille-feuilles de brik avec une couche de poulet cuisiné au curry et à la coriandre, une couche d’omelette à la coriandre et une couche d’amandes légèrement torréfiées avec des morceaux de pâte d’amande et de la cannelle. Trop mignon dans de petits caquetons en plastique (qui ne supportent pas la chaleur du four… Vais me faire eng… !), à présenter en entrée, je pense que je remplacerai l’omelette par des petits légumes en julienne !

Polyphonies corsées

Publié: 9 avril 2009 dans Cuisine & Gastronomie
Ce deuxième cours de cuisine nous aura amené à utiliser le Wok, cette grosse poële qui plairait à Maïté tant faire la cuisine devient simple : on met tout dedans et on laisse mijoter, c’est pourtant simple ! (Et c’est bon) (enfin ça dépend de ce qu’on met dedans) (mais là c’était bon)
 
Petit plat des îles donc (eh oui on peut cuisiner autre chose qu’asiatique avec un wok, et il n’y a pas que Rouge Tendance dans la vie ;)), et en dessert… un canistrelli, biscuit corse et sec (de caractère, corse, donc), mais la pâte était bien trop salée !! beurk… Et pis il faut du vin blanc dans la pâte. C’est dit. Rien ne vaut les cuccioli de ma femme !

Comme à Bollywood

Publié: 29 janvier 2009 dans Cuisine & Gastronomie
Mon premier cours de cuisine dans l’atelier d’Au Boulot Les P’tits Doigts, en féminine compagnie puisque Maya et trois de ses commères me secondèrent (ou le contraire). Pour cette initiation nous avons cuisiné (enfin, cuisiné est un grand mot, nous avons épluché deux carottes et un oignon tout en buvant un verre de bordeaux ;)) un poulet curry et son riz basmati (qui n’a pas de H, contrairement au bismuth, qui est moins bon).
 
La particularité du riz est qu’il est cuit dans un fond d’huile avec des morceaux de pâte d’amande séchée qui, en cuisant, donnera cet aspect gluant comme on les aime. A cela rajouter massalé, curry royal et gingembre, raisins et/ou abricots si le coeur vous en dit ; pour le poulet (ou le poisson), faites le revenir avec les dés de carottes et d’oignons noyé dans la purée de tomates pelées, aromatisés de ces mêmes épices qui fleurent bon Katmandou et les vaches sacrées.
 
Un dessert préconisé est une sorte de pain perdu trempé dans le lait concentré sucré et poëlé ensuite avec du sucre et du lait (moins concentré).
 
Pour faire un bon lhassa, il suffit de fouetter un yaourt (il aime ça) dans un peu d’eau, aromatisé au choix à la banane, vanille, mangue, fleur de rose, amande, ou même salé.
 
Cuisine simple et facile à refaire, et l’on a parlé chiards et chiffons pendant le repas…