L’affaire Batushka, c’est comme la guerre en Ukraine : ça a fait les choux gras de la presse pendant un temps et ça c’est essoufflé. Pour rappel en 2015 le fondateur du groupe Krzysztof Drabikowski embauche un vocaliste en la personne de Bartłomiej Krysiuk qui se serait approprié le groupe, la marque, etc. Il existe donc à ce jour deux voire plus versions du groupe. Nous parlons ici de l’ « officielle », celle du « méchant » Bart puisque c’est lui qui a signé avec une major.
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Premier album à afficher le travail de Seth Siro Anton (accessoirement chanteur de Septicflesh), restant dans la même veine bien énervée que Memorial, les lusitaniens en ont encore à revendre.
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(Moi, perso, j’ai l’édition noire)
L’arrivée d’un nouveau Behemoth c’est comme l’arrivée d’un nouveau Slipknot. La bande à Nergal est tellement sous le feu des projecteurs, quasiment « people » qu’on pourrait craindre qu’ils ne s’assoient sur leur popularité et leur côté « bankable » pour nous ressortir un troisième The Satanist (exceptionnel album, s’il en est – et je dis troisième car pour moi I Loved You at Your Darkest ressemble furieusement au petit frère du susdit sataniste.)
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Bienvenue dans les frimas du Grand Nord.
« A Winter Chant » nous accueille dans une ambiance liturgique avant un « King of the Hills » qui nous balance en tous sens : une ligne de guitare qui reste en tête, des pauses plus calmes entre deux passages très bathoriens.
« Riding Majestic Crest » joue aussi sur les deux plans, entre un Loudin au chant guttural énervé et des chants clairs, avec des blasts typiquement black metal. L’intro de « Thunderhymn » nous emmène ensuite au coeur du mäëlström (rayez les umlaut inutiles). On retrouve ce goût du « gimmick » guitaresque. Ces trois premiers titres s’enchainent à merveille, une vraie cohésion musicale.
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Réédition spéciale du premier album du combo israélien augmenté de la démo de 1998. Si la production est plutôt cheap, on est tout de suite dans l’ambiance avec l’intro « Whispers from the Tower ».
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En ces temps troublés, rappelons-nous que les pays de l’Est – et l’Ukraine aussi, disposent de groupes de black metal pas piqués des hannetons. Drudkh (et son rejeton Blood of Kingu) en sont de fiers représentants. Et laissons de côté les accointances national socialistes supposées, séparons l’oeuvre de l’artiste.
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Un album ô combien ancré dans l’Histoire avec cette Notre Dame se consumant, pour rappel incendiée en 2019. Seth nous propose une revisite de la Cathédrale (en images) accompagnée d’une bande son infernale.
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Outre une très jolie pochette, le black / death proposé par Blood of Kingu est un voyage – pas facile, mais un voyage quand même.
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Les ovnis musicaux « Devil is Fine » et « Stranger Fruit » avaient confirmé le talent indéniable de Manuel Gagneux pour le mélange des genres (entre black metal et chants d’esclave). L’on craignait cependant que le côté original ne trouve ses limites. Verdict ? Prends-toi ça dans ta face, Préjugé.
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Après le succès mérité de son premier album, la sorcière danoise récidive avec son Grand Oeuvre.
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Stein écrit (aussi) 